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NICOLAS RIGOULET – RESPONSABLE BUREAU DE LA VIE ETUDIANTE
« Tout s’est très bien passé de notre côté. Pas de couac d’organisation ce qui t’a permis je l’espère de travailler en toute sérénité. Bel élan participatif des étudiants avec une communication qui a bien marché.
Cela amène beaucoup pour nous. Tout d’abord cela montre que le campus bouge. Ensuite cela amène un côté participatif : que les étudiants puissent aider à l’embellissement de notre campus leur donne un sentiment de dynamisation de la vie de campus. Cela montre également un côté accessibilité dans le sens où ils peuvent donner leur avis sur la vision qu’ils ont de leur campus. Cela peut enfin aider à l’intégration des nouveaux étudiants.
Pour les étudiants cela aide au sentiment d’appartenance. Pour nous BVE, cela dynamise notre vie étudiante par le biais de la fresque en elle-même mais aussi en faisant participer nos étudiants de différentes manières (vote, peinture).
Heureux de voir les étudiants intéressés par ce projet
JEREMY NEVEU – DOCTORANT EN DROIT
Bien, fort heureusement ! C’est une semaine un peu charnière car elle marque définitivement la rentrée, avec le début des Travaux Dirigés et toutes les fêtes organisées (et qui s’estompent en octobre).
Pour mon cas personnel, ça devient une coutume de voir et de participer à une réalisation artistique lors de la rentrée. C’est assez plaisant je dois l’avouer.
Par conséquent, c’est une semaine où je suis ancré dans la culture et l’art : j’en discute avec mes proches, j’en débat avec mes collègues, je partage mon amour de l’art aux autres.
Ce genre d’évènements crée un lien et une cohésion. A mon sens, il permet aux étudiants (et personnels) de s’intégrer à la vie universitaire par un autre moyen que la formation pure. Ce lien permet d’unir tous les publics par un évènement unique, différent de la routine universitaire.
C’est également un moment de célébration pour cette période de l’année. La rentrée, c’est le début d’un cycle pour la vie étudiante. Et après un retour de vacances ou de repos estival (pour ceux qui ont cette chance), cet évènement marque un accueil chaleureux.
Une nouvelle œuvre permet, au sens figuré, de changer le visage de l’université. Qui dit nouvelle rentrée dit nouvelle œuvre donc une nouvelle université. Le retour d’un cycle mais transfiguré ; l’université change avec ses étudiants et son personnel.
Des anecdotes, il y en a beaucoup.
Comme a dit un très grand philosophe que j’ai très bien connu : « ça va partir dans tous les sens ! ».
– Manger un naan sur le parvis d’Aula Magna, c’est un pur sentiment de liberté. C’est un moment de convivialité entre amis qui réfute tout le contexte environnant. Qu’importe la faculté, qu’importe le lieu d’étude et son symbolisme, qu’importe les étudiants et enseignants de passage : on partage un repas bien gras et bien lourd, qui tâche les doigts et les vêtements. Et ça c’est beau.
– Les discussions passionnées échangées avec les étudiants qu’on ne connaissait pas 10 minutes auparavant, c’est toujours magique.
– Les dictées, c’est toujours assez marrant. On se croirait de retour à l’école primaire. Sinon, c’est évidemment la plaisir de lire et de découvrir le témoignages des étudiants ainsi que les bons mots de certains (pas que les miens, je te vois venir :p)
– La galère des lignes de fuite. Le sujet parle de lui-même.
Un mot à rajouter 😉
« Artiste-peintre ou ? »
